lundi 21 décembre 2020

Radios locales lyonnaises, 1er épisode

Radio Cristal est une radio locale de Lyon créée en mars 1982. Elle était née à la suite d’une dissension dans l'équipe d'Happy Radio, installée dans les Monts du Lyonnais. L’un des fondateurs se nommait Sylvain Vetesse qui avec son frère avait fondé Lyon Radio Composants une entreprise spécialisée dans l’import d’émetteurs venus d’Italie. Les studios de Radio Cristal étaient situés sur les quais de Saône, 49, Quai Pierre Scize, dans une maison de style Renaissance. Je me suis présenté dans les studios de la radio un soir de la fin du mois d’avril 1982. Ce jour là deux autres candidats animateurs se présentèrent, un journaliste pigiste dont j’ai oublié le nom qui voulait parler de polar, et une fille – Marie-Odile Desroches – qui par la suite officia sur Radio Fourvière. Un animateur me proposa de faire un essai le samedi suivant, à six heures du matin. Nous étions le 25 avril 1982… Essai concluant, mon mentor décréta que ma voix passait bien et que mon choix de musique éclectique dénotait de la part un bon sens de la radio populaire. Pendant quelques temps j’animais donc une émission matinale, stupidement nommée A vos Marc !

120 jeux érotiques interdits (ou presque)


Tout est interdit ! La société permissive des années 60 se transforme doucement en société du contrôle et de l’interdit, apparemment pour les meilleures raisons du monde… Jamais la sexualité n’a été plus libre, et pourtant elle a rarement été plus encadrée dans ses manifestations publiques. Ces nouveaux contrôles passent par la censure d’images de nudité, même innocentes et artistiques. La drague est assimilée au harcèlement. Galanterie et libertinage sont considérés aujourd’hui comme des pratiques sexistes. Quant aux femmes qui revendiquent haut et fort une sexualité débridée, elles sont niées ou dénigrées… Passons ! Les interdits n’ont jamais disparus. Il est temps de jouer avec. Les objets, les lieux, les situations, les rôles, les fantasmes, les perversions… Tout sera prétexte à des jeux érotiques un peu transgressifs – mais jamais dangereux. Voici des jeux flirtant avec les limites, jouant à les franchir, s’inspirant de l’univers du BDSM et des fantasmes les plus inavouables en bravant tous les interdits, même les plus anodins. Mais tout cela restera au sein du couple, le vôtre ou celui de quelques heures avec un(e) partenaire de passage. Adultes et consentants, sans violence et humiliation, ou alors « pour de rire », vous allez jouer avec tout ce qui vous passera par la tête ou sous la main, pourvu que ce soit un peu dérangeant, apparemment pervers ou d’ordinaire interdit. Tous les mauvais goûts sont dans la nature… Nous les croiserons et tenterons parfois de les imiter, pour rire un peu. 120 jeux érotiques pour transgresser les interdits et plus de 200 mini-scénarios pour s’amuser avec tous les fétichismes

Les lieux saints qui guérissent... ou pas !


Ecris pendant le confinement, publié le jour de la fermeture des librairies, ce guide de promenades sur les lieux "saints" n'a pas eu de chance, alors qu'il offre des possibilités réelles de guérisons. Guérisons du stress, de l'ennui, en allant se promener aux bords des fontaines, dans de belles églises et au coeur de paysages magnifiques.


Il vous entrainera sur la piste des statues de la Vierge toujours baladeuses et miraculeuses,  sur les sites où Elle serait apparue, généralement à des jeunes filles un peu imaginatives.

Nous boirons ou nous nous laverons à l'eau de fontaines qui soignent à l'évidence quelques petits bobos, des problèmes ophtalmologiques, des petites lésions cutanées, ou simplement la soif.
Guérisons miraculeuses – ou pas La France et sa voisine la Belgique, pays de tradition catholique, ont vu depuis 2000 ans se multiplier les « lieux saints qui guérissent ». L’hagiothérapie Qu’ils soient associés au souvenir de la visite d’un saint, réel ou légendaire, à l’apparition de la Vierge ou de Jésus, à la présence de reliques éminentes, ils auraient été le théâtre d’une multitude de guérisons miraculeuses. Ou plus modestement passeraient pour prodiguer des bienfaits, voire un simple soulagement. Ils sont encore fréquentés par des pèlerins ou des touristes qui viennent y chercher un peu de réconfort, de « bien-être », sans forcément, ou sans s’avouer, « y croire ». Cette forme de guérison attribuée à un saint, qui par sa seule présence à conféré un pouvoir particulier à l’eau d’une fontaine, à la pierre d’une statue, au décor d’un pèlerinage, porte un nom « l’hagiothérapie ». L’ethnologue Agnès Bernard en décrit les caractéristiques . « L’hagiothérapie repose sur un présupposé : l’attribution à un saint – ou à la Vierge – d’un pouvoir thaumaturgique. Grâce à son intercession auprès de Dieu, le malade est sauvé. (…) Ainsi l’hagiothérapie se pratique-t-elle généralement dans le cadre d’un pèlerinage sur le lieu où sont conservées des reliques et/ou se situe une source ou une fontaine miraculeuse. » Elle ajoute « Dans le domaine des troubles mentaux, cette méthode a représenté le concurrent principal de la médecine, du Moyen Âge à la fin de l’Ancien Régime, voire dans quelques cas jusque dans le courant du XIXe siècle. » Un guide pour les randonneurs et les curieux Le pèlerinage est historiquement associé à la marche. Il faut prendre le chemin vers un espoir de guérison, ce sera plus simplement aujourd’hui l’occasion d’une agréable promenade… Ce guide est destiné aux randonneurs et aux touristes curieux de nature – et de la nature.