dimanche 10 mai 2020

Parigramme, début des années 2000

Dans un premier temps, j’ai essentiellement publié des livres chez Parigramme, parallèlement au début de ma collaboration avec la Musardine.


La maison d’édition fondée par François Besse venait d’être crée. François, publia d’abord une série de guides de promenades et d’albums traitant de chacun des arrondissements parisiens. Il créa également une collection d’albums, consacrés au Paris de Marcel Proust, ou au canal Saint Martin, dans laquelle prit place Panique à Paname. La collection Paris et à nous, de M. Napias et Sandrine Gulbenkian faisait un carton avec entre autre un livre réédité à multiples reprises, « Où s’embrasser à Paris. »

 En 2001, Parigramme me demande d’écrire un petit ouvrage promotionnel destinés aux premiers bons clients de la maisons d’édition achetant leurs ouvrages par le club Le Grand livre du mois, Les plus belles balades littéraires en France. Je suis étonné de retrouver encore sur internet ce livre en vente alors qu’il avait été diffusé gratuitement…

En 2002, autre expérience, l’écriture du texte d’un album de photographies de Jacques Lebar consacré au Paris éternel. Intitulé en français Paris aux milles visages, il fut publié en anglais sous le titre Fascinating Paris et 18 ans plus tard il est encore en vente dans les boutiques des musées parisiens.


Ce fut la fin du premier épisode de ma collaboration avec Parigramme… Collaboration qui vient de reprendre !

Il y eut encore un dernier livre consacré au Paris Rétro.



L'introduction du guide reste bizarrement d'actualité. "Le « Temps des copains » ou les « années Pop », les années 50, 60 ou 70, semblent aujourd’hui bien loin. Pourtant elles n’ont jamais été aussi présentes - le siège Tam-Tam vendu à nouveau par milliers d’exemplaires, des bars branchés décorés de moquette orange et de plastique blanc, des magasins de disques voués uniquement à la vente de 45tours en vinyle… tout nous les rappelle. Ce retour en grâce d’objets appartenant à un passé récent, considérés il y a peu comme tout à fait ringards, porte un nom : « la mode rétro »
A suivre.